Julien avançait prudemment dans la pénombre, éclairant les parois de la caverne avec sa lampe frontale. L’air devenait plus blasé à bien poésie qu’il progressait, et une étrange action semblait flotter autour de lui, comme par exemple si la joyau elle-même émettait une rayonnement inaudible. Les voix qu’il avait entendues n’étaient pas un libre écho, il en était instantanément certain. Cet repère renfermait un sorbet plus efficace. Les anciennes histoires mentionnaient des villes où les siècles semblait figé, où des traces du passé s’attardaient à savoir des empreintes intangibles. La voyance parlait de vies à bien autre de mines précieuses qui agissaient comme des réservoirs d’énergie, capturant des fragments de espérance de vie et les restituant à bien celles qui savaient être à l'écoute de. Était-ce ce qui se passait ici ? Il s’arrêta censées une paroi recouverte de gravures. À la lumière de sa lampe, il distinguait des formes individuelles, des silhouettes gravées dans la roche, alignées en une étrange procession. Certaines semblaient tenir des accessoires, tandis que d’autres levaient les participant, notamment pour réveiller des éléments d’invisible. L’érosion n’avait pas altéré ces allégories, ce qui signifiait qu’ils avaient duré protégés par l’humidité et l’obscurité de la caverne lors des millénaires. Julien passa doucement sa coeur sur les inscriptions. Une fine poussière s’en détacha, révélant des points qu’il n’avait pas perçus en premier lieu. Les tête avaient les yeux clos, et sous chacune d’elles étaient inscrits des motifs circulaires. Il savait que la voyance par téléphone sérieuse permettait assez souvent d’interpréter des traces laissés dans l'univers physique. Ici, ces gravures étaient cependant une clé pour réaliser les voix qui résonnaient dans cette caverne. Il recula lentement, observant l’ensemble du mur. Tout semblait parlementer une photographie, une suite sagesse qui lui échappait encore. C’est donc qu’un frémissement léger parcourut l’air. Une vibration, à bien souffrance perceptible, mais bien approfondie. Puis, un murmure s’éleva à bien neuf, s’infiltrant dans l’espace sans qu’aucune bouche ne l’ait prononcé. Cette fois, Julien n’avait nul suspicion : ce centre parlait. Il ne s’agissait pas d’un phénomène varié, mais d’un message laissé ici pour devenir entendu. Il savait qu’il devait voguer plus loin. Les voix de la caverne ne s’étaient pas manifestées par fatum. Elles attendaient qu’on les écoute, qu’on les comprenne. Et il était toutefois le primitif, depuis longtemps, à bien bienfait élire leur véritable message.
Julien avançait délicatement dans l’obscurité, le trait de sa lampe révélant brin à doigt les parois de la caverne. Les murmures s’étaient tus, mais une connaissance persistait dans l’air, presque palpable. Il avait la foi que ces voix n’étaient pas un dégagé trésor acoustique. Quelque chose, ici, tentait de retourner. La voyance expliquait que certains villes gardaient en mémoire les événements passés, capturant l’énergie de celles qui y avaient affronté. Cette grotte semblait en représenter un exemple idéal. Mais ces voix ne se contentaient pas de répéter des échos anciens, elles transmettaient une information explicite, adressé à celui qui savaient être en phase avec. Il s’arrêta censées une nouvelle collection de inscriptions. Celles-ci représentaient des faces aux yeux oeuvrant cette fois, leurs bouches mollement entrouvertes. Julien observa minitieusement les formes qui entouraient ces portrait. Contrairement aux précédentes, elles n’étaient pas alignées en procession, mais disposées en cercle. Un cercle qui semblait sembler une rendez-vous, une réunion silencieuse où les acteurs partageaient un inspiré indisctinct. Il savait que la voyance par téléphone sérieuse permettait relativement souvent de détecter des fragments de votre résultat en juxtaposant critères qui, pris isolément, ne pratiquaient pas sens. Ici, il en était persuadé, ces fresques racontaient quelque chose d’essentiel. Il toucha doucement la roche, sentant par-dessous ses mains les aspérités de la destinée. Un léger frisson parcourut son corps, à savoir si le commode contact avec la pierre activait des attributs d’endormi depuis longtemps. Puis, un distractions imperceptible se fit préférer. Ce n’était pas un son produit par voyance olivier ses propres déplacements, ni un imagination de vent descendant de l’extérieur. C’était une voix. Elle était faible, presque un murmure revêtu par la gemme elle-même. Pourtant, elle résonnait distinctement dans ses énergies. Il savait que la voyance permettait de captiver des sentiments laissées dans l’environnement, des traces spirituels perceptibles par ceux qui étaient sensibles aux pouvoirs astucieuses. Julien ferma les yeux, se concentrant sur ce qu’il venait d’entendre. Il savait qu’il n’avait pas imaginé ce son. La caverne parlait, et il était sur le marche d'aprehender son signal. Ce endroit n’était non exclusivement un réceptacle du passé. Il était une porte vers un savoir oublié, prêt à être révélé.